LES CROIX DE LA MONTAGNE SUGARLOAF

"Deux femmes tombent à leurs mort sur la Montagne Sugarloaf"
était probablement l'histoire dans les journeaux de Campbellton
en Novembre 1924

Deux croix ont été peinturées oû les corps ont été trouvés
Les rumeurs laissaient entendre que la fille Ramsay était enceinte
mais avec la tragédie qui pris place cette soirée sur la montagne Sugarloaf,
nous ne saurons jamais la vérité.
Sur l'image ci-dessous,
vous pouvez voir les croix,
la plus large à la gauche,
et en bas de la plus petite
à la droite de l'autre

16 heures, le 9 novembre, 1924
Mme Edmund McLean agée de 19 ans, et sa soeur,
Mlle Lottie Ramsay agée de 17 ans
ont laissées leur domicile
pour aller grimper la Montagne Sugarloaf
Elles étaient les filles de
M. et Mme. Sydney Ramsay de Campbellton.

La noirceur devait approcher à
cette heure au mois de novembre,
donc, quelle idée avaient elles? Nous ne saurons jamais.
Quand les filles n'étaient pas revenues à 18 heures
la famille est devenue très inquiète.
Rendu au soir, la famille savait que quelque
chose était arrivé.
A l'aurore, ils suivirent les traces des filles
sur une couche de neige mince fraichement tombée
jusqu'au bord de la montagne.
Une recherche sur la pente de la montagne amena
une triste nouvelle à la famille et leurs amis.

Les corps des deux jeunes femmes
furent trouvés à 600 pieds du sommet de la montagne
par J.H. Moores, (policier), William Smith et un M. Gay.
Les cadavres ont été transportés au salon funéraire Graham, officié
par M. Martin et le Dr. MacPherson

Les filles ont laissées a pleurer :
époux, Edmund McLean
Soeurs:
Mme Ernest White de Kneevalley, Alberta
Mlle Ella Ramsay de Buffalo N.Y.
Frères:
Auley de Campbellton
Calvin de Campbellton
Sydney de l'Angleterre
James de Campbellton

Les porteurs pour les filles étaient:
Bert Tyler, Charles Tyler, Ernest Adams,
Earl Lutes, Clifford Steve, George Allingham
Philip Gallie, Guy Cronkite, William Harvey
Leslie Dow, Stuart McLaughlin et
Charles Dobson

Cette page a été construite par Irene Doyle, novembre 1998
et traduite par Pierre Letarte
Merci Pierre